Arnaud Raffard de Brienne
La désinformation autour de la colonisation

 
 



 

Dans son livre
" La désinformation autour de la colonisation " Arnaud Raffard de Brienne met en relief - pour les balayer - les mensonges principaux concernant notre passé colonial.

 

Une des conséquences imprévues de l’Expédition d’Alger, menée en 1830 par les troupes du Roi Charles X, fut l’amorce d’un mouvement de populations venues d’un peu partout, de France et des pays méditerranéens, qui aboutit en quelques petites décennies à l’émergence d’un peuplement nouveau issu de leur fusion : les Français d’Algérie, qui se verraient, dans les soubresauts de la fin de l’aventure algérienne de la France, attribuer le sobriquet de « pieds-noirs ».
A propos de ces « pieds-noirs », on peut dire, près d’un demi-siècle après leur exode, que la désinformation fait rage. Plus que jamais. Et ce, sur le plan historique mais aussi sur le plan culturel. C’est de ce dernier point qu’il est question dans ce petit ouvrage. à seule fin de corriger un certain nombre de clichés réducteurs comme d’a-priori sarcastiques et dévalorisants. Pour ne pas qu’après leur avoir ôté leur terre natale, on les prive de surcroît de leur histoire et de leur identité.


La désinformation autour de la colonisation
Arnaud Raffard de Brienne

Site Novopress : http://fr.novopress.info/index.php, mars 2007


La désinformation autour de la colonisation
Arnaud Raffard de Brienne. 138 pages. Edition 2007
C’est désormais la vulgate. La colonisation des peuples d’outre-mer par les Européens en général, et les Français en particulier, est présentée comme l’abomination des abominations. Un impérialisme motivé par la seule cupidité et porté par un racisme d’autant plus insupportable que les colons auraient arraché des populations innocentes et pacifiques à une sorte d’âge d’or ! ».
Le phénomène a pris une telle ampleur que la simple mention - abandonnée depuis ­ du rôle positif qu’aurait joué la France outre-mer et singulièrement en Afrique du Nord a déclenché une campagne de haine farouche alimentée par tous les médias du « politiquement correct ».
La vérité est ailleurs, bien sûr. Si la colonisation ne fut pas exempte d’actes peccamineux, comme toute entreprise humaine, elle contribua à arracher aux ténèbres des peuples tenus en esclavage et soumis à des pratiques abominables.
Dans ce vif ouvrage d’une collection consacrée à la désinformation, Arnaud Raffard de Brienne met en relief - pour les balayer - les mensonges principaux concernant notre passé colonial.
www.libre-diffusion.com


Minute du 4 avril 2007


Pour ne pas perdre la mémoire !
« Français, vous avez la mémoire courte », disait jadis un grand cynique qui, dans sa longue trajectoire politique, a usé et abusé des éclipses de la mémoire française. Dans ce petit opus efficace, La Désinformation autour de la colonisation, Arnaud Raffard de Brienne s’emploie à rendre aux Français de la plus grande France leur mémoire perdue. On appréciera par exemple les quelques pages dans lesquelles, entre autres bienfaits de la colonisation, il évoque « la fin de l’antisémitisme en Algérie », la mise hors la loi définitive des pogroms et l’abolition de ce statut de dhimmis, qui faisait des juifs en Algérie et ailleurs des inférieurs à perpétuité.
Un fait, une citation, une date, un chiffre, ici chaque chapitre, dans sa brièveté, est un petit chef-d’œuvre de précision. Ce concentré de vérités devenues inaudibles (sur la torture en Algérie, sur les grandes consciences occidentales au Viêt-Nam, sur le naufrage économique et humain de l’Afrique, etc.) pourrait bien ici et là permettre de véritables prises de conscience. C’est un excellent instrument de formation politique, aide-mémoire pour les plus âgés, introduction facile à lire, à recommander particulièrement aux jeunes. Du très bon travail de vulgarisation en tout cas ! Pour une fois, la pédagogie et l’histoire font bon ménage.
J. P.


Le Libre Journal, n° 404 du 7 avril 2007


C’est à lire Un vade-mecum contre le mensonge sur la colonisation
Le mépris dans lequel les menteurs tiennent leurs victimes se mesure à la médiocrité des efforts qu’ils consentent pour parer leurs menteries du voile de la vérité. Qui illustre mieux que Chirac cette évidence ? L’insistance de cet escroc universel à imposer à notre pays une repentance éternelle pour la colonisation est bien entendu révélateur de la haine rabique que ce nomade de naissance et d’esprit manifeste pour la France, son Histoire, sa civilisation et ses racines religieuses. Mais elle montre aussi combien il prend les Français pour des imbéciles. Evidemment stipendié par le maquereau Bouteflika, il a, par exemple, dénoncé la colonisation de l’Algérie. Et personne, bien sûr, ne lui a porté la moindre contradiction. Faute d’argument, sans doute. C’est ce qui fait l’intérêt du petit livre d’Arnaud Raffard de Brienne, digne héritier de son père Daniel. « La Désinformation autour de la colonisation » est en effet un de ces vade-mecum irremplaçables dont les éditions de l’Etoile du Berger se sont fait une spécialité (à propos des origines de l’Homme, de l’Eglise, de l’Histoire sainte, de l’esclavage, du satanisme etc.) et qui permettent d’opposer la vérité au mensonge sans avoir besoin de transporter sur soi une bibliothèque de référence. Ce volume consacré à la colonisation tourne naturellement autour de l’histoire des relations avec le continent africain et en particulier des espaces nord-africains. La locution elle-même est déjà une mise au point. On ne peut en effet parler que d’espace nord-africain pour désigner ce qui, avant le débarquement des armées royales, n’était pas l’Algérie mais une terre gaste, sans réelle existence administrative, un territoire de rapine et de pillage, abandonné aux appétits d’un prédateur lointain: la Turquie. La France, démontre Raffard, n’a pas colonisé l’Algérie. Elle l’a fondée. Et elle n’a pas fait que cela. Elle a créé sa richesse et rendu son avenir possible en mettant au jour ses ressources minières et pétrolières, en recréant son agriculture ruinée depuis la chute de l’Empire romain, en bâtissant ses villes, en traçant ses routes, en éduquant ses populations, en affranchissant ses femmes de leur servitude, en y abolissant l’esclavage, et en y laissant une empreinte si positive que l’ancien chef du FLN Ait Ahmed a pu déclarer : « l’Algérie, au temps des Français, c’était le paradis ». Parmi les innombrables mensonges qu’Arnaud Raffard de Brienne recense et réduit à néant, celui de l’amitié éternelle que Juifs et Musulmans se seraient voués en terre algérienne. Amitié dont les propagandistes de l’immigration nous rebattent les oreilles à longueur de journée comme ce jean-foutre d’Enrico Macias dont on se demande vraiment ce qui l’a précipité en métropole dans les années soixante alors qu’il était si heureux là-bas au milieu de ses amis fellaghas. Raffard rappelle à ce propos quel tour étrange pouvait prendre, avant l’arrivée des Français, cette amitié fraternelle entre les descendants de Jacob et ceux d’Esaü. Depuis l’holocauste perpétré par les Almohades au XIIe siècle jusqu’au statut de dhimmi taillable, corvéable, humiliable et torturable à merci que le Turc imposa au Juif jusqu’au XIXe siècle et auquel la puissance tutélaire française mit seule un terme. Autre chapitre révélateur: celui que Raffard consacre à la torture.
Les prétendus tortionnaires de l’armée française auraient eu beaucoup de mal à égaler en abominable férocité ceux qui se plaignent aujourd’hui d’être passé à la gégène. Et si même certains poseurs de bombes ont été un peu vivement incités à indiquer où était planquée l’engin qui allait déchiqueter des dizaines de civils, ils peuvent s’estimer heureux que leurs interrogateurs n’aient pas usé des méthodes de leurs amis. Le livre en dit là-dessus plus long et plus clairement que l’on oserait le faire dans ces pages. Vraiment, l’évidence s’impose: le pire des interrogateurs en uniforme français était un arracheur de pattes de mouches en comparaison des authentiques serial kiIlers du FLN. Enfin, Arnaud Raffard de Brienne ne manque pas de livrer au lecteur un réflexion de simple bon sens: si la colonisation a fait tant de mal a l’Afrique, si elle a, à ce point, pillé ses richesses, comment se peut-il qu’a peine libéré de ce joug, le continent ait sombré dans le chaos ? Pourquoi les Africains qui exportaient, jusqu’aux indépendances, les produits de leur agriculture, sont ils devenus en moins de cinq ans les premiers importateurs du monde ? Pourquoi la part de l’Afrique dans le commerce mondial a-t-elle été divisé par trois après les décolonisations ? Pourquoi un investisseur étranger sur trois a-t-il abandonné la lutte et pourquoi trois sur quatre cherchent-ils a en faire autant ? Pourquoi la faune et la flore sont elles en train de disparaître alors que plus un homme blanc ne les exploite ? Toutes ces questions, Raffard de Brienne ne se contente pas de les poser. Il propose des réponses puisées aux meilleures sources et apporte ainsi au lecteur un argumentaire imparable dans le débat sur cette colonisation en quoi Jules Ferry et Léon Blum voyait la mise en œuvre nécessaire et bénéfique des « droits et devoir des races supérieures à l’endroit des races inférieures ».



Présent n°6316 du vendredi 13 avril 2007

Arnaud Raffard de Brienne :
La Désinformation autour de la colonisation



Dans la collection « La Désinformation autour de… » où il nous a été donné un livre déjà en cours de réédition, La Désinformation autour de l’esclavage, Arnaud Raffard de Brienne nous apporte, avec La Désinformation autour de la colonisation, de nouvelles et précieuses munitions contre la repentance masochiste.
C’est, on le sait, devenu la vulgate ordinaire : la colonisation européenne en général, et la colonisation française en particulier, sont devenues l’abomination des abominations. Arnaud Raffard de Brienne écrit : « Le phénomène a pris une telle ampleur que la simple mention – abandonnée depuis – du rôle positif qu’aurait joué la France outre-mer, et singulièrement en Afrique du Nord, a déclenché une campagne de haine farouche alimentée par tous les médias du “politiquement correct”. »
Il y a bien eu quelques ouvrages pour essayer d’inverser la tendance. Mais, outre le fait que lesdits ouvrages tiennent souvent du pavé indigeste, noyés qu’ils sont sous les chiffres et les statistiques, ils ont souvent pour auteur des universitaires qui, vite effrayés par leur audace, finissent pas céder eux-mêmes au « prêt-à-penser ».
Le livre d’Arnaud Raffard de Brienne, véritable vade mecum que l’on devrait mettre au programme des lycées et des universités, échappe à tous ces pièges.
Suivant le principe même d’une collection qui, lentement mais sûrement, commence à faire autorité, La Désinformation autour de la colonisation est un livre à la hussarde qui va à l’essentiel.
Avec une solide bibliographie qui permettra à ceux qui voudraient aller plus loin dans le sujet de le faire sans s’égarer dans un maquis de titres.
Raffard de Brienne rappelle les origines idéologiques de la colonisation, les mensonges du credo tiers­mondiste, l’après-colonisation vue par les Africains (qui savent, eux, ce qu’ils doivent à la colonisation), etc. Et il répond en démontrant, avec force d’exemples à l’appui, les innombrables bienfaits de la colonisation. Avec un chapitre qui, à lui seul – et d’abord parce que le sujet est soigneusement étouffé partout ailleurs – souligne l’importance de ce livre : « Le silence sur les missions chrétiennes ».
« La machine infernale de la désinformation tiers-mondiste, confortée par la passivité du plus grand nombre et la lâche passivité de nos élites, semble avoir aiguisé d’insatiables appétits », écrit Raffard de Brienne. Son essai est de ceux qui peuvent condamner ces appétits à la famine…
A.S.
Prochain titre à paraître : La Désinformation autour de la science de Rémi Fontaine.
Lectures françaises, n° 600, avril 2007
Mention de quelques ouvrages politiques importants : (… Arnaud Raffard de Brienne : La Désinformation autour de la colonisation. . Réfutation des principaux mensonges concernant la question. (…)


Diffusion de la Pensée Française, n° 372, avril 2007


Arnaud Raffard de Brienne : La Désinformation autour de la colonisation
Mise en relief et réfutation des principaux mensonges concernant notre passé colonial. Quelques chapitres, parmi les douze composant ce volume : « Un dénigrement permanent » - « Bienfaits de la colonisation en Algérie » -« La torture en Algérie » - Racisme, vous avez dit racisme ? » -« Silence sur les missions chrétiennes »…



Site Novopress : http://paris.novopress.info / ?p=2650, mai 2007
La désinformation autour de la colonisation
Arnaud Raffard de Brienne


C’est désormais la vulgate. La colonisation des peuples d’outre-mer par les Européens en général, et les Français en particulier, est présentée comme l’abomination des abominations. Un impérialisme motivé par la seule cupidité et porté par un racisme d’autant plus insupportable que les colons auraient arraché des populations innocentes et pacifiques à une sorte d’« âge d’or ». Le phénomène a pris
une telle ampleur que la simple mention – abandonnée de­puis – du rôle positif qu’aurait joué la France outre-mer et singulièrement en Afrique du Nord a déclenché une campagne de haine farouche alimentée par tous les médias du « politiquement correct ».
La vérité est ailleurs, bien sûr. Si la colonisation ne fut pas exempte d’actes peccamineux, comme toute entreprise humaine, elle contribua à arracher aux ténèbres des peuples tenus en esclavage et soumis à des pratiques abominables. Dans ce vif ouvrage d’une collection consacrée à la désinformation, Arnaud Raffard de Brienne met en relief – pour les balayer – les mensonges principaux concernant notre passé colonial



voir aussi :
http://www.forum-politique.org/phpBB2/viewtopic.php?p=1172403&sid=8499f1ae751658247e804bc1c33ac5cc
http://infos75.hautetfort.com/archive/2007/05/08/la-desinformation-autour-de-la-colonisation.html


Rivarol, n° 2810 du 11 mai 2007


En finir avec la désinformation
Dans l’excellente collection « autour de », Arnaud Raffard de Brienne signe un très utile précis sur « La désinformation autour de la colonisation » désormais présentée comme l’abomination des abominations, motivée par la seule cupidité et portée par un racisme d’autant plus insupportable que les colons auraient arraché des populations innocentes et pacifiques à une sorte d’« âge d’or ».
Autant de mensonges, tellement rabâchés qu’ils sont devenus vérités d’Evangile mais dont l’auteur fait litière, de manière définitive, dans ce petit livre de 138 pages, outil précieux pour clouer le bec aux imbéciles ou aux faussaires de l’histoire.
J.L.


L’Action Française 2000, n° 2724 du 3 au 16 mai 2007


Quelques vérités sur la colonisation
Les Français semblent en avoir assez des apôtres de la haine de soi qui ne cessent de les inviter à la « repentance ». C’est en tout cas ce qu’a décelé M. Sarkozy dans son désir de ratisser large par tous les moyens même hypocrites... Mais comment faire confiance au candidat dit de droite quand il dénonce l’esprit de culpabilisation alors qu’on ne l’a pas entendu élever la voix quand les gouvernements auxquels il participait ces dernières années ont souillé l’image de la France et se sont aplatis devant, par exemple, les négateurs de tout aspect positif dans l’œuvre coloniale de la France.
Aux Français perplexes et même à M. Sarkozy lui-même s’il devait entrer à l’Elysée et souhaitait éventuellement mettre ses actes en accord avec ses discours de tribune..., il faut faire lire sans tarder le petit ouvrage sans prétention et pourtant aussi stimulant qu’instructif que vient de publier Arnaud Raffard de Brienne : La désinformation autour de la colonisation avec une précieuse bibliographie sur le sujet.
L’Algérie doit tout à la France
L’auteur, refusant toute vision manichéenne de notre histoire, ne nie point les ombres qui tiennent à toute entreprise humaine, mais ne veut pas se laisser dicter son jugement par « un solide camp du dénigrement et du renoncement, bien enraciné et jamais en retard d’une auto-flagellation compulsive ou d’une repentance par procuration ». Point dupe, Arnaud Raffard de Brienne refuse ce « chantage affectif et moral qui nous est imposé afin de nous extorquer aides, subventions et remises de dettes à répétition. En attendant les milliards qu’il nous faudra sans doute verser, en réparation des crimes vrais ou supposés de la colonisation ».
D’où l’urgence de remettre les idées en ordre. D’abord rappeler cette vérité: ce sont des hommes de gauche, notamment Jules Ferry, qui au nom de l’idéologie des Lumières et de ce qu’ils appelaient la « supériorité », d’une « race » qui connaît les « Droits de l’Homme », ont conduit l’entreprise du second empire colonial français.
Autre rappel, concernant plus particulièrement l’Algérie: la véritable raison de l’expédition d’Alger menée en 1830 par l’armée de Charles X fut, bien au-delà du coup de chasse-mouche reçu par le consul de France de la part du dey d’Alger, la volonté de mettre fin aux agissements criminels des Barbaresques qui rendaient la Méditerranée infréquentable. Oui peut se plaindre que la France ait mis fin à ce cycle de massacres, d’enlèvements, de demandes de rançon... ? Mais en 1830, la France n’a en rien colonisé une Algérie ...qui n’existait pas, et l’auteur peut écrire que sans la France « les habitants d’Alger et de la région n’auraient jamais constitué la moindre nation organisée, ni jamais connu de véritable indépendance, ayant toujours été sous une domination étrangère ou une autre [vandale, byzantine ou turque...] » Arnaud Raffard de Brienne aurait pu citer l’indépendantiste Ferrat Abbas lui-même qui disait avoir cherché vainement dans l’Histoire les traces d’une nation algérienne. Voilà qui devrai tout de même rabaisser le caque de M. Bouteflika...
Sur les bienfaits de la colonisation en Algérie, une comparaison suffit entre le pays actuel qu vit de mendicité et celui d’avant 1962, auto-suffisant sur le plan alimentaire et exportateur de blés e1 légumes. Plus éloquents encore les citations de chefs arabes, tel ce ministre syrien : « Si la France était restée vingt ans de plus, elle aurait fait de l’ Algérie l’équivalent d’un pays européen. »
Naufrage africain
Car, évidemment, le bilan de la décolonisation doit être révélé au grand jour: il est catastrophique. L’idéologie tiers-mondiste et doloriste n’a engendré que des malheurs. S’il est vrai que trop d’hommes d’Eglise ont prêté la main à cette mauvaise action (on se souvient des « porteurs de valises »), il nous semble qu’Arnaud Raffard de Brienne assimile un peu vite à ces comportements indignes la politique pontificale qui, du moins jusqu’à Pie XII, envisageait une simple « évolution vers l’autonomie » dont l’abandon de ces pays par la France et les autres pays occidentaux n’a été qu’une crapuleuse caricature D’où le « naufrage » de l’Afrique, que les tiers-mondistes entendent éviter en demandant une aide occidentale toujours plus forte, laquelle part presque toujours au fond d’un gouffre. Alors que l’Afrique pourrait être selon certains économistes le grenier du monde, voilà qu’incapable de gérer ses terres, elle oscille entre famine et pénurie. · quoi s’ajoutent l’accroissement de la dette extérieure, l’incurie, la corruption, l’imprévoyance, l’immaturité, la démographie mal maîtrisée, la ruine des écosystèmes, l’ethnisme congénital de nombre de peuplades, la ruine des hôpitaux mal entretenus depuis le départ des occidentaux, ...toutes conséquences d’une décolonisation hâtive, que bon nombre d’Africains déplorent : « Aujourd’hui des intellectuels africains portent sur leurs aïeux et contemporains un regard impitoyable et, loin d’accabler les anciennes puissances coloniales, ils ont la sagesse de balayer devant leur porte. »


Racisme ?


Culpabilisées, les anciennes puissances coloniales croient devoir flatter les gouvernements de ces pays... Cela risque de ne durer qu’un temps, car l’accusation de racisme lancée par le politiquement correct contre ceux qui osent dire la vérité risque fort de se retourner et d’être envoyée, cette fois à bon escient, à la figure de ceux qui entretiennent ces peuples dans une situation humiliante d’assistanat au lieu de les pousser à se prendre en mains.
Outre quelques justes réflexions sur la mauvaise foi de ceux qui condamnent la torture à sens unique et sur le fait que la colonisation a causé plus de pertes que de profits aux pays colonisateurs, Arnaud Raffard de Brienne conclut sur la véritable fonction des accusations portées contre notre Histoire : « Il s’agit d’inhiber, de tétaniser, de paralyser et même de dissoudre notre peuple pour lui faire docilement accepter l’accélération des transferts de richesses en direction des pays du Sud comme le prévoit explicitement le projet mondialiste. »
L’insistance que mettent les « belles âmes »à faire rougir les Français de ce qu’ils sont est bel et bien une participation à un plan de guerre contre les nations traditionnelles occidentales. Raison de plus pour nous d’affirmer à temps et à contre-temps, quoi qu’il en coûte, notre fierté d’être Français.
Michel Fromentoux


- La désinformation autour de la colonisation
Arnaud Raffard de Brienne
Editions Atelier Fol'Fer
collection Xénophon
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La désinformation autour de la colonisation
Arnaud Raffard de Brienne
Auteur : Arnaud Raffard de Brienne
Collection : collection Xénophon   Ref. XXX   Prix : 18 € (+ 2,50 € de frais de port)
 
Prix : 18 € (+ 2,50 € de frais de port)
Auteur[s] : Alain-Michel Zeller
Éditeur : Atelier Fol'Fer
138 pages
Collection : Xénophon
13,5 cm x 20,5 cm